Pyramides d’Argent : la FPI Alpes dévoile les lauréats de l’édition 2021
Réunissant près de 400 personnes, c’était l’évènement annuel très attendu par le secteur de la promotion immobilière : le 21 octobre 2021, au sein d’Alpes Congrès Alpexpo, la FPI Alpes a révélé les lauréats du concours des Pyramides d’Argent. Dédiée à ses adhérents, cette compétition a pour objectif de valoriser et récompenser les meilleures réalisations de programmes de logements neufs.
Depuis plus de 15 ans, la FPI stimule l’imagination et la capacité d’initiative de ses adhérents grâce au concours des Pyramides. Reconnu par la profession, cet évènement se déroule en deux étapes. Dans un premier temps, les candidats participent aux Pyramides d’argent au niveau régional, puis les vainqueurs de cette phase poursuivent ce challenge avec les Pyramides d’Or à l’échelle nationale.
Cette année, 32 programmes représentés par 14 promoteurs immobiliers étaient en compétition dans 7 catégories, et ont été évalués par un jury professionnel. Une table ronde, animée par Olivier Gallais, Président de la FPI Alpes, s’est également tenue en amont de la remise des prix, sur la thématique « Comment construire ensemble la ville de demain », avec comme grand témoin Laurent Prévost, Préfet de l’Isère, représenté par Eléonore Lacroix, secrétaire générale de la Préfecture de l’Isère, et avec la participation d’Ariella Masboungi (Grand prix de l’urbanisme 2016), de Christophe Ferrari (Président Grenoble-Alpes Métropole et Maire de Pont-de-Claix, et de Marc Pigeon (Président de Build Europe).
Olivier Gallais, Président de la FPI Alpes, commente : « Cette année plus que jamais, il est important de valoriser le travail et l’implication des promoteurs immobiliers qui font face à un contexte difficile : nous constatons une forte baisse des autorisations de permis de construire dans les logements collectifs neufs depuis 10 ans (-29% au niveau national, -14% sur Grenoble Alpes Métropole et -9% sur le département de l’Isère) ; une tendance qui s’est accentuée depuis 2018. Et nous faisons face à un paradoxe : d’un côté, les besoins et la demande en logements restent très importants notamment dans les zones tendues dont la Métropole de Grenoble, ce qui implique la nécessité d’urbaniser et de construire ; et de l’autre, un certain malaise de vivre en ville, fortement lié à la crise du Covid. Il faut donner du sens à la Ville de demain, et c’est un défi collectif ».